Bimoteur de transport léger (8 à 12 passagers) à usages civil et militaire, son aérodynamique est dérivée du Communauté et sa voilure de celle du Mystère 20.
En 1967, l’état-major de l’armée de l’Air recherche un avion pour remplacer ses Beechcraft 18 et ses Douglas DC 3 pour l’entraînement des pilotes à la navigation et pour les liaisons. Cet appareil doit être équipé de turbopropulseurs Turboméca Astazou.
Bimoteur de transport léger (8 à 12 passagers) à usages civil et militaire, son aérodynamique est dérivée du Communauté et sa voilure de celle du Mystère 20. Le volume de la cabine et son autonomie sont identiques à ceux du Mystère 20. Les moteurs sont des Turboméca Astazou XIV de 870 cv. La vitesse n’est que de 500 kilomètres à l’heure comparée aux 800 du Mystère 20 mais il coûte moitié moins cher.
Le premier vol a lieu à Bordeaux-Mérignac, le 11 septembre 1968, aux mains d’Hervé Leprince-Ringuet et de Jean Coureau.
Comme de sérieuses incertitudes apparaissent quant à l’avenir du turbopropulseur, un MD 320 Hirondelle doté de deux réacteurs Snecma Larzac est envisagé. Mais la même année, l’état-major de l’armée de l’Air et les clients d’avions d’affaires préférant un avion à réaction, la Société renonce à cet appareil au profit des Mystère-Falcon. En conséquence, le programme – celui du dernier avion à hélices de la Société – est arrêté.
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